#IWD 2022 : Dans le district de Gakenke, le CEJP Rwanda se joint aux Rwandais pour célébrer la Journée internationale de la femme
Le rôle de l’égalité du genre dans l’atténuation du changement climatique a occupé le devant de la scène quand la CEJP Rwanda s’est jointe à la population du district de Gakenke pour marquer la Journée internationale de la femme de cette année le mardi 8 Mars sous le thème : “L’égalité des sexes pour faire face au changement climatique” Il existe un lien important entre l’égalité du genre et le changement climatique, car nous ne pouvons espérer réaliser l’avenir que nous voulons sans nous concentrer sur l’égalité du genre, a déclaré Mardi Jeanne d’Arc Mujawamariya, ministre de l’Environnement.
Dans le District de Gakenke, la CEJP Rwanda renforce les capacités des femmes pour leur participation effective à la prise de décision depuis 2017, où parmi les espaces d’activités figurent l’organisation de sessions d’échanges – débat sur l’importance de la participation active des femmes dans les espaces de prise de décision et identifier femmes qui ont été élues dans les instances de décision formelles et informelles lors des élections locales et encourager les femmes à participer aux différents espaces en évoquant les avantages et les inconvénients de voir les femmes occuper des postes de décision et les difficultés qu’elles rencontrent afin de proposer des solutions possibles et finalement améliorer la confiance. les femmes à participer à la prise de décision pour influencer les changements au sein du ménage et de la communauté.
Au lendemain de l’ #IWD 2022, la CEJP Rwanda rappelle que le projet de renforcement des capacités des femmes pour leur participation effective à la prise de décision s’appuie sur 871 bénéficiaires directs dont 636 femmes et 235 hommes, un réseau de 20 mobilisateurs communautaires dont des femmes les ménages à revenu majoritairement touchés par l’isolement, la non-appartenance à des groupes associatifs et ceux qui subissent des violences ainsi que les femmes occupant des postes de responsabilité dans les différentes structures locales formelles (CNF, CNJ, Abunzi, comité des soirées de parents,), informelles les structures locales (coopératives, églises, etc.) et les structures gouvernementales locales (villages, cellules, secteur, conseils consultatifs, etc.) qui manquent de confiance en elles et d’informations nécessaires pour assumer adéquatement leurs responsabilités et vont donc au-delà de cette attitude.